L’indice vert, mis en place en 2012-2013 par la Centrale d’achat et de référencement de l’hospitalisation privée et publique (Cahpp, lire ci-contre) poursuit sa progression. En mars, indique Yvon Bertel-Venezia, Président directeur général (PDG) de la centrale, 40% des prestataires ont obtenu cet indice, contre 20% en 2013. 60% devraient l’avoir atteint d’ici l’année prochaine, ajoute-t-il.
Dans son catalogue, la Cahpp ajoutera donc de nouvelles mentions de son label. Figureront aussi ceux qui en ont fait la demande mais qui ne l’ont pas obtenu, précise Yvon Bertel-Venezia. Car pour être labellisé indice vert, il faut répondre au minimum à 80% aux 35 questions, rappelle-t-il, ce qui n’est pas forcément chose aisée, la démarche mérite donc d’être mise en valeur. Pour lui, ces résultats témoignent qu’un nouveau pallier vient d’être franchi dans la prise de conscience et l’intérêt de la démarche de développement durable.
Dans son catalogue, la Cahpp ajoutera donc de nouvelles mentions de son label. Figureront aussi ceux qui en ont fait la demande mais qui ne l’ont pas obtenu, précise Yvon Bertel-Venezia. Car pour être labellisé indice vert, il faut répondre au minimum à 80% aux 35 questions, rappelle-t-il, ce qui n’est pas forcément chose aisée, la démarche mérite donc d’être mise en valeur. Pour lui, ces résultats témoignent qu’un nouveau pallier vient d’être franchi dans la prise de conscience et l’intérêt de la démarche de développement durable.
Pour que le plus grand nombre de ses prestataires soient labellisés, la Cahpp propose aussi des explications pratiques pour obtenir cet indice vert. Un concours de “pièges à éviter” va aussi être organisé afin de récompenser les entreprises qui gaspillent le moins et ainsi créer de l’émulation autour de ces sujets, explique le PDG de la centrale. De nombreux freins existent encore au niveau de la distribution des médicaments par exemple, qui pose la question de leur conditionnement. Il s’agit de sujets complexes sur lesquels il est difficile d’apporter du changement. Les entreprises sont alors interrogées pour connaître leur proposition, explique Yvon Bertel-Venezia.
La fabrication de certains Dispositifs médicaux (DM) à l’étranger apporte aussi son lot de questions, notamment sur les conditions de fabrication. Les acheteurs hospitaliers sont pourtant en droit de savoir comment les produits qu’ils achètent sont fabriqués, insiste-t-il.
Source : HOSPIMEDIA
La fabrication de certains Dispositifs médicaux (DM) à l’étranger apporte aussi son lot de questions, notamment sur les conditions de fabrication. Les acheteurs hospitaliers sont pourtant en droit de savoir comment les produits qu’ils achètent sont fabriqués, insiste-t-il.
Source : HOSPIMEDIA